Tes mains sur mes hanches (roman)

 


Bienvenue sur la page dédiée à mon premier roman made in Chambéry.



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De quoi ça parle ?

C’est une question fréquente. Logique. D’abord il faut savoir qu’un livre ne parle pas. Mais quand même: il “parle” d’une famille légèrement déjantée. Et à travers cette famille, du monde actuel. De ce qui nous tient et de ce qui nous libère.



Et pourquoi pas commencer à lire le livre ?

Pour vous, les 3 premiers chapitres de mon livre en libre accès. Alors régalez-vous!



C’est chouette, j’achète !

Eh oui: je me fais plaisir, je te fais plaisir et je soutiens une jeune auteure. Donc je lui fais plaisir.


* Pour commander «Tes mains sur mes hanches», veuillez m’envoyer un couriel à elena.varecy@gmail.com


* Le livre est maintenant en version Kindle:



Un livre pas comme les autres:

le graphiste, l’imprimeur, le façonnier et le libraire partenaire de la diffusion sont tous en Rhône-Alpes. Voilà pourquoi Tes mains sur mes hanches est le premier livre LocoBio, le plus local et le plus écologique possible.




Ce qu’en disent mes lecteurs :

Ils sont en Savoie, dans le sud, dans le nord de la France -même dans la capitale!-, en Belgique, en Italie, outre-Atlantique... et ils m'ont fait part de leurs impressions.

Je les remercie encore chaleureusement et j'attends votre avis à vous sur elena.varecy@gmail.com !



« J’ai eu des moments de fou rire tout au long de ma lecture ! Merci, ça m’a fait du bien.

Le style du roman est tellement inhabituel !

La lecture est un mixte entre des passages très élaborés et des passages plus que familiers, les passages du coq à l’âne, cette communion directe avec l’auteur qui se laisse aller en faisant des commentaires personnels (souvenirs d’enfance, Midi Première, les refrains de chansons…) et autres passages qui donnent l’impression au lecteur qu’il y a du vécu de la part de l’auteur.

Certains passages de lecture m’ont transportée sur une scène de théâtre comme la démo de Ginette devant l’importateur ou les filles qui veulent proposer de calquer la production des godes sur celle des prothèses.

Je ne sais pas si c’est parce que j’ai eu le plaisir de vous rencontrer , qu’il m’arrivait de me dire à certains passages : ça ne m’étonne pas, c’est elle, Elena,. En fait, je vous voyais.

Puis ces petits dessins naïfs à chaque chapitre.

Voilà quelques impressions qui me traversent rapidement l’esprit.

Ça a été un vrai plaisir de retrouver Etienne, Pimpon, Ginette et surtout le grossier Salvatore dans la pagaille des transports parisiens. »



« Entre San-Antonio et Amélie Nothomb.»



« C’est agréable à lire.»



« Une lecture pas de tout repos, mais très distrayante.»



« Fabuleux un tel humour, si caustique.»



« Bravo pour les descriptions de botanique. On voit que tu connais le sujet.»



« Ce livre ne laisse pas indifférent. L’histoire et les personnages sont très marqués.»



« C’est surprenant. Je ne m’attendais pas à ça. C’est indescriptible et inclassable.»



« C’est très prenant.»



« C’est vraiment un bouquin sur lequel on se penche.»



« Il y a quelque chose de fou et de poétique, même quand c’est très caustique. Cet Etienne qui se balade comme ça, un peu partout dans le livre.»



« Les personnages sont un peu foufous mais j’ai apprécié les description très précises, en particulier au jardin botanique de Montréal.»



« Derrière l’élégance des fleurs et l’humour noir, n’y a-t-il pas un certain désespoir ? »



« Dès les premières pages, ça m’a fait penser à du Amélie Nothomb : pour la dimension comique et le rapport au réel. Et puis cette coïncidence : les deux bouquins parlent d’obésité.»



« J’en connais des « ayatollah du développement personnel » et c’est bien vu. Mais il ne faut pas trop le dire.»



« Je me suis régalée. Je viens juste de le finir et je suis encore imprégnée des personnages qui ont une personnalité très forte, bien décrite. Je suis rentrée dedans et j’ai pris part à leur vie. Ils sont tous attachants, même si leurs relations sont un peu rock’roll.»



« Le thème et la façon dont c’est fait, c’est globalement super.»



« J’ai adoré les changements de rythmes et d’atmosphères ; en particulier les épisodes dans les Bauges, à la fois paisibles et très vivants.»



« J’ai bien aimé. Elle a bien travaillé : c’est marrant. J’ai eu le sentiment de découvrir l’auteure. Je ne savais pas qu’elle avait ces soucis et surtout cette liberté d’écriture.»



« C’est assez marrant.»



« On sent qu’il y a eu des recherches sur la botanique et sur l’anatomie. C’est intéressant.»



« J’ai bien rigolé. Il y a beaucoup d’humour.»



« C’est complètement loufoque : quand il refuse de mettre des distributeurs en plus pour les godes et préfère diminuer le choix en pizzas hyper-calorifiques pour caser les godes à côté.»



« On a envie de le baffer, ce Salvatore.»



« J’ai beaucoup ri à la lecture de ton roman. C’est un rythme très rapide et il y a plein d’allusions. J’aime bien.»



« C’est très intéressant et très riche.»



« C’est très cru, l’entrée est très brutale et peut surprendre Le style est vif, nerveux.»



« On se demande vraiment à quel moment le Luigi va réagir. Car tout est fait pour le « chauffer » et lui, il supporte, il supporte. Il y a un vrai suspense.»



« J’ai lu ce livre après le dernier Houellebecq, La Carte et le Territoire. Et comme lui, c’est pas juste exister pour exister, un livre pour un livre : il y a une vraie vision du monde et un vrai style C’est un truc de véritable auteur.»



« Ça se lit bien. De temps en temps, il y a des apartés marrants ; en particulier sur les chanteurs des années 60.»



« C’est atypique parce que c’est la comédie humaine ramenée à une famille.»



« C’est San Antonio au pays des déhanchés.»



« En approchant de la fin, j’avais les boules. Je le lisais dans le bus pour aller à la fac et j’adore ce style.»



« C’est pétillant.»



« Ça m’a plus dans l’idée. Dans la construction, les apartés m’ont bousculée parce que je n’ai pas l’habitude de lire des trucs dans ce style.»



« C’est la vie ; ça parle d’enfermement.»



« Ça déborde de partout.»



«C’est complètement frapadingue.»



« L’histoire est originale et la langue belle. Il y a une vraie aisance et on sent un vrai plaisir dans son écriture.»



« Malgré tout, on ressent de la sympathie pour Salvatore.»



« Tu as une réelle capacité à varier le style et aussi les descriptions et les dialogues. Je pense à la rencontre amoureuse dans les Bauges et au retour, ensuite, à Chambéry.»



« Je me suis régalé. Les descriptions font que ce n’est pas du fantasme. C’est juste et c’est bien.»



« Avec un tel regard sociologique, c’est un véritable essai politique sur le monde contemporain. Mixé avec de la comédie. »



« C’est primesautier.»